Kamishibaï

Partenariat avec MK67

Connaissez-vous le Kamishibaï ?
Il s’agit d’une sorte de théâtre où les conteurs font défiler des illustrations pendant qu’ils racontent leur histoire. Le concept existe depuis plusieurs siècles au Japon et est arrivé en Europe depuis quelques décennies.

En France, la maison d’édition alsacienne MK67 s’est spécialisée dans les Kamishibaï.
Vous pouvez vous procurer sur leur site des Butais (supports) en bois ainsi que de nombreuses histoires.
Parmi elles, à la faveur d’un partenariat entre KM67 et Nats Éditions, vous pouvez trouver deux contes de Florian Poirier : “Samuel” (illustrations de Vay) et “Câline la chenille” (illustrations de Mahé).

Nats Éditions a pu présenter son Butai au dernier salon de Serémange, et il a bien attiré les regards.

 

Il est ensuite allé faire un petit séjour au Kindergarten (Maternelle) de Schriesheim, où les enfants ont pu découvrir la version allemande de Samuel (“Mein Freund Samuel”, ISBN : 978-3-95858-222-4) et créer leurs propres histoires Kamishibaï !

Bref, si vous souhaitez raconter des histoires à vos enfants de façon originale, le Kamishibaï est le format idéal !

Pour en savoir plus sur MK67, nous vous invitons à parcourir leur site web : http://mk67.eu/index.php

 

 

 

Salon de Neckarsteinach 2018

Le week-end des 3 et 4 mars 2018 était une grande première pour Nats Éditions : c’était son premier salon, en tant qu’exposant, en Allemagne !

Pour l’occasion, deux nouveaux contes ont été traduits et se sont rajoutés à la liste de livres jeunesses publiés en allemand chez Nats Éditions :

  • Askeladen und der Wettstreit mit dem Troll (L.Peyronnet & Godo), ISBN : 978-3-95858-106-7
  • Was ist denn los? (L.Larrieu), ISBN : 978-3-95858-124-1
  • Aristide und Marguerite (M.Daurey & Vay), ISBN : 978-3-95858-224-8
  • Mein Freund Samuel (F.Poirier & Vay), ISBN : 978-3-95858-222-4

Avec seulement quatre titres à présenter (sept en comptant leurs versions bilingues), le pari était risqué, mais le besoin de tester le marché allemand se faisait vraiment ressentir.

Le 12. Kleine Buchmesse in Neckartal de Neckarsteinach était l’idéal : petit, pas trop cher, et à trente minutes seulement en voiture de chez notre éditrice… Et cela s’est révélé être un succès inattendu !

Première surprise : peu de visiteurs le samedi !

Contrairement aux Français qui déjeunent en famille, les Allemands préfèrent réserver leur dimanche aux activités culturelles. Ainsi, nous avons fait très peu de ventes le samedi, mais elles ont explosé le dimanche.

Pour s’occuper le samedi, on pouvait heureusement compter sur l’assistant éditeur qui savait mettre l’ambiance et laisser cours à ses envies créatives !

  

 

Deuxième surprise : les Allemands ne prennent pas de marque-pages s’ils ne sont pas intéressés ! J’en ai même vus le reposer discrètement sur la pile, après avoir accepté un marque-page que je leur tendais… Est-ce leur forte culture pro-environnementale (pas de gaspillage de papier) ou leur franchise, je n’en sais rien, mais, au moins, cela fait faire des économies à la Maison.

 

Troisième surprise : oui, les Allemands achètent des livres en français ! Alors que j’avais pris quelques autres titres en français pour décorer et donner un aperçu du reste du Catalogue, j´ai tout de même vendu deux exemplaire du conte “Au bout du fil” (S.Arnoux & S.Moguez) et un exemplaire du roman policier “Quarante ans que je t’aime” (L.Di Pietro)…

Le dimanche, quelques livres bilingues sont également partis, mais les versions allemand-anglais marchaient tout de même mieux que les versions allemand-francais.

 

 

Et quelques faits soupçonnés ou clichés qui s’avèrent bien réels :

  • En Allemagne, le cash est roi ! Pas de chèques (les banques n’émettent même pas de chéquiers), ni de CB, les allemands payent en espèces ! Du coup, cela freine un peu les achats “coup de cœur”, mais on peut légitimement espérer que ceux qui ont emporté leur marque-page passeront commande auprès de leur librairie…
  • Les Allemands adooooooorent les livres sur leur région, et plus encore si c’est un roman qui se passent dans leur ville ou région !
  • Les Allemands ne lisent pas de bandes dessinées ! À l’exception d’Astérix et Lucky Luke, pas la peine de chercher à vendre des BD, ils n’en voudront pas ! D’ailleurs, j’avais mis un exemplaire de The Gutter sur le stand et alors que, en salon français, il est souvent feuilleté, ici, personne n’y a touché ! 🙁
  • Les salons sont fréquentés par des personnes plutôt âgées, mais passionnées ! Les lectures d’extraits étaient très bien fréquentées, et la majorité de mes ventes ont été faites à des Omas (mamies) qui achetaient pour leurs petits enfants.

Et d’autres faits sympas :

  • le salon est très politique : discours et gâteau de bienvenue, visite du maire de la ville, du secrétaire de l’État de Bade Wurtemberg et d’autres hauts fonctionnaires qui ont fait le déplacement.
  • Comme en France, les salons sont l’endroit idéal pour se faire de nouveaux contacts pros : j’ai ainsi des pistes pour deux autres salons dans le coin, pour un groupe de femmes de la littérature, pour des traductrices, auteurs et collègues éditeurs ! 🙂
  • Enfin, l’entraide entre professionnels est impressionnante ! Une collègue m’a ainsi envoyé une prof de l’Université d’Heidelberg qui s’intéressait aux livres en français mais qui ne savait pas que j’étais là, et un autre éditeur a carrément offert une pizza à mon fils, avant d’offrir les restes (parce que bon, à sept ans c’est dur d’avaler une pizza de quarante centimètres tout seul ! :p) aux autres collègues !

En tout cas, le Chef a l’air d’avoir apprécié !

 

Allez, on se quitte sur une petite visite en photos (prises le dimanche avant l’ouverture) et, pour les germanophones, voici un petit compte rendu du salon dans la presse :  https://www.rnz.de/nachrichten/region_artikel,-kleine-buchmesse-im-neckartal-regionale-krimis-liegen-weiter-im-trend-_arid,342603.html

Divano, T2 : Chute – Interview avec David Royer


Divano, T2 : Chute

Après son Ascension dans une Olympe pour le moins surprenante, Opale continue sa formation et son entraînement de Déesse de la Chaleur, auprès de nouveaux et inattendus compagnons d’armes.
Mais elle n’abandonne pas pour autant la recherche de son ancien mentor, Ivan, dont la disparition provoque bien des difficultés au Grand Conseil.
Nouvelles alliances, quêtes, trahisons et combats deviennent le quotidien d’Opale.
L’élève saura-t-elle dépasser le Maître ?

Parution le 19 mars 2018
ISBN : 978-3-95858-174-6
e-ISBN : 978-395858-175-3

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Salut David !

Le 2e tome de Divano arrive enfin !!! Pour ceux qui l’auraient oublié, peux-tu nous faire un petit rappel de l’intrigue du T1, si possible sans spoils ?
Alors, Divano, c’est l’histoire d’Opale, qui est une étudiante sans histoires et assez banale… qui du jour au lendemain, devient une déesse. Manque de bol, elle a la malchance d’appartenir à un panthéon polythéiste. Traduction, elle a des collègues divins, mais qui ne sont pas tous de gentils compagnons de jeu. Et malheureusement, la jeune fille va vite se rendre compte que chez les immortels dotés de pouvoirs surpuissants, le passe-temps le plus en vogue est de tisser les complots les plus tordus qu’on puisse imaginer…

 

Que se passe-t-il donc dans ce nouveau tome ?
Il sera difficile d’en dire beaucoup sur le tome 2 sans spoil, mais je vais essayer. Pour faire simple, Opale est toujours mêlée aux intrigues divines, et parallèlement, doit continuer sa formation pour devenir une déesse à temps plein. Sauf qu’entre des Créatures Fantastiques l’accusant de tous les maux, la traque d’un fugitif et l’approche d’un certain « Grand Conseil »… autant dire que ce n’est pas parce qu’elle est une déesse qu’Opale va se la couler douce pour l’éternité…

 

Combien de tomes prévoies-tu pour Divano ?
Cinq tomes sont prévus. Sans compter quelques spin-off s’articulant autour d’autres histoires moins divines, mais ayant toujours lieu dans l’univers de Divano.

 

Tu es aussi un YouTubeur depuis quelques temps… Peux-tu nous en dire plus ?
Mais tout à fait !
J’anime la chaîne ParlonsUnivers, sur laquelle je me suis fixé la tâche de détailler les différents univers narratifs existants.  Avec les épisodes d’UniversaliS, je me charge donc d’expliquer ce qu’est la Fantasy, le Fantastique, la Science-Fiction…
Et parallèlement, j’ai aussi développé deux concepts particuliers, que sont le Tribunal Télévisuel, où j’essaie d’analyser les différentes représentations d’une œuvre ou d’un personnage, et où je présenterai (à l’avenir) des séries ou des livres que j’ai particulièrement appréciés et que je tiens à faire connaître.
Et le dernier concept, ce sont les Chroniques Vidéoludiques, où je me lance dans l’analyse de licences phares du jeu vidéo, tels que Assassin’s Creed, Tomb Raider, God of War… en essayant de détailler la cohérence du gameplay et du scénario.

 

Aurons-nous l’occasion de te rencontrer sur des salons, ces prochains mois ?
Eh bien oui, tout à fait, je serai présent aux Imaginales du 24 au 27 mai 2018. Pour le reste… je ne sais pas encore… ^^’

Merci !!
Merci à vous aussi 😀

Appel à texte 2018

Mise à jour du 5 avril 2018 : Les soumissions sont fermées depuis le 01 avril 2018. Les manuscrits adressés après cette date ne pourront pas être étudiés. Nous remercions toutes les personnes qui ont répondu à cet appel à texte et nous reviendrons vers vous prochainement. 

 

Voici quelques informations qui vous permettront de multiplier vos chances :

  • nous recherchons des romans, BDs, mangas et jeunesses illustrés de tous genres, à l’exception de contenus pornographiques, ultra-violents ou portant atteinte à la dignité humaine.
  • nous cherchons à varier notre Catalogue : un genre ou un sujet encore non-proposé dans ce dernier sera donc un plus.
  • Nats Editions aime mettre en avant les thèmes forts et éducatifs, qui font réfléchir sur notre société ou font passer un message à nos enfants.
  • en romans, nous avons déjà pas mal de séries. Les One-shots seront donc préférés, mais les séries en 2 ou 3 tomes seront aussi admises.
  • en BD, Manga et jeunesse, ce serait un avantage si le binôme auteur/illustrateur est déjà constitué mais ce n’est pas obligatoire.
  • Si vous souhaitez nous envoyez plusieurs projets, il suffit de remplir le formulaire à nouveau : 1 projet = 1 envoi de formulaire.
  • Les projets déjà parus ailleurs sont acceptés, à condition que vous ayez récupéré les droits (ou que vous soyez sur le point de les récupérer).

Concernant les fichiers à envoyer lors de l’appel à texte:

  • il vous sera demandé dans le formulaire :
    • une présentation du projet (genèse, sujet(s), problématique(s)…),
    • un résumé détaillé
    • une pièce jointe en format PDF ou Document (.doc, .odt) de maximum 100 Mo contenant :
      • pour les romans : manuscrit complet. En cas de série, le manuscrit du Tome 1 complet + synopsis ou plans des tomes suivants.
      • pour les BD et mangas : galerie des personnages, quelques planches réalisées ou projet complet si déjà terminé.
      • pour les jeunesses illustrés : texte complet, quelques dessins si un illustrateur a déjà été choisi ou projet complet si déjà terminé.
  • nous ne pouvons qu’insister sur une bonne présentation de votre projet et/ou manuscrit. Lors des dernières soumissions, nous avons dépassé la centaine de projets donc nous aurons besoin d’aller vite pour pouvoir vous répondre dans les délais que nous nous sommes fixés. Un projet ou manuscrit mal préparé ou brouillon sera vite éliminé.

Pour les jeunesses, BDs et Mangas, une sélection aura lieu d’après différents critères et lecture des projets en mai 2018.
Selon l’avancement des projets, des parutions seront envisageables dès le premier semestre 2019.

Pour les romans, une présélection sur critères, résumés détaillés et lecture de 3 chapitres aura lieu fin mai. Si votre projet est présélectionné, un comité de lecture lira le manuscrit complet. La sélection définitive aura lieu début juillet pour des parutions à partir de 2019.

Les réponses (positives comme négatives) seront données par email donc vos adresses mail seront collectées dans ce but mais ne seront pas utilisées à d’autres fins, et encore moins transmises à des tiers.

Nats Editions signe des contrats à compte éditeur uniquement.

En cas de questions, écrivez-nous à resp.com@nats-editions.com

Au plaisir de découvrir vos projets,
L’équipe de Nats Editions

Au bout du fil – Interview avec Sylvie Arnoux


Au bout du fil

À la fin du XIXe siècle, dans les montagnes cévenoles, Louise et Raymond rêvent d’aventures. Passionnés par les technologies naissantes, ils souhaitent quitter leur village, découvrir les Amériques et ainsi échapper au travail dans les moulinages, ces usines qui fabriquent le fil de soie. Leurs rêves vont les entraîner beaucoup plus loin que prévu…

Dans ce roman à l’ambiance steampunk campagnard, découvrez la rude vie de ces milliers de filles et de garçons embauchés dès leur plus jeune âge dans les moulinages. Mais aussi comment une des technologies les plus en vogue aujourd’hui trouverait son origine au cœur de l’Ardèche.

Parution le 19 février 2018
ISBN : 978-3-95858-168-5
e-ISBN : 978-395858-169-2
ISBN Dys+: 978-3-95858-172-2
e-ISBN Dys+ : 978-395858-173-9

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Bonjour Sylvie !
Peux-tu nous présenter Au bout du fil ?
S.A. : Au bout du fil est un petit roman steampunk qui nous emmène très librement sur la trace des précurseurs d’internet en plein cœur de l’Ardèche.

Résumé : À la fin du XIXe siècle, dans les montagnes cévenoles, Louise et Raymond rêvent d’aventures. Passionnés par les technologies naissantes, ils souhaitent quitter leur village, découvrir les Amériques et ainsi échapper au travail dans les moulinages, ces usines qui fabriquent le fil de soie. Leurs rêves vont les entraîner beaucoup plus loin que prévu…

Une partie documentaire à la fin du livre permet de découvrir qu’un inventeur n’est pas toujours celui qui revendique la paternité de l’invention…

 

Comment Sabrina est-elle arrivée sur ce projet ?
S.A. : Grâce à Natalie, éditrice, j’ai découvert le travail de Sabrina. je recherchais une illustratrice qui « trempe » ses crayons dans l’univers steampunk pour bien restituer l’ambiance du récit. Pari réussi !

 

Pourquoi avoir choisi de situer cette histoire en Ardèche ? Quelles ont été tes inspirations ?
S.A. : Ce petit roman prend place dans une région chère à mon cœur : l’Ardèche. Cela m’amusait de casser un peu les codes du « steampunk » et situer l’intrigue en pleine montagne cévenole, dans un petit village et non à Paris ou Londres, comme c’est souvent le cas pour ce genre littéraire. C’est l’occasion pour moi de faire découvrir la vie dans les Cévennes ardéchoises à la fin du XIXe siècle, et d’ouvrir la porte des moulinages, ces usines essentielles dans la chaîne de la soie.

 

Ce mini-roman est parfois qualifié de “steampunkt”. Pour ceux qui ne connaissent pas, peux-tu nous expliquer les codes de ce genre ?
S.A. : Pour tenter de faire simple, le steampunk est marqué par des intrigues se déroulant souvent fin du XIXe siècle, pendant la révolution industrielle liée au charbon, à la vapeur. Ces intrigues font également appel à des technologies actuelles, inconnues au XIXe siècle. C’est justement dans ce qui pourrait paraître anachronique que réside la touche steampunk. On cite souvent Jules Verne comme précurseur, à sa manière, du mouvement.

 

Enfin, ce roman est disponible en deux versions dont une pour les lecteurs dyslexiques… Peux-tu nous en dire plus ?
S.A. : La version DYS est en police « Andika », une police simple qui permet une différenciation des lettres posant problème aux dyslexiques. Cette police rend la lecture plus facile pour tous les lecteurs.

La version DYS + est proposée aux lecteurs dont les troubles dyslexiques prononcés empêchent de lire. Une taille de caractère plus grosse, un interligne plus grand, un texte non justifié et la police « opendyslexic » offrent un confort et apportent des clés pour faciliter la lecture.

 

Merci ! 🙂
S.A. : Merci à toi !

 

 

 

Théo à la recherche de Pégase – Interview avec ses auteures


Théo à la recherche de Pégase

Après cette mauvaise journée, c’est sûr, l’univers est contre Théo !
Les injustices dont il est la victime l’ont plongé dans une très grande tristesse. Mais soudain, en pleine nuit, une lueur l’appelle et lui promet d’extraordinaires aventures…
Intelligent et courageux, Théo n’hésite pas à relever le défi !

Suivez Théo dans sa quête du légendaire Pégase, où constellations et mythologie se croisent pour notre plus grand plaisir.

Parution le 5 février 2018
ISBN : 978-3-95858-160-9
e-ISBN : 978-395858-161-6

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Bonjour les filles !
Merry : Hello !
Malice : Salut!

On connait chacune de vous pour d’autres parutions chez Nats Editions mais c’est la 1ère fois que vous travaillez ensemble… Comment est né votre binôme ?
Merry : Je suis une inconditionnelle des beaux dessins, réalistes ou harmonieux, et quand j’ai vu les illustrations de « On m’a dit » et de « Passeurs », je suis littéralement tombée en admiration devant le talent de Malice. Pour « Pégase », je voulais des belles couleurs dans l’espace, qui rappelleraient la nébuleuse de la tête de cheval, et, pour avoir vu ses illustrations sur le thème de l’espace, je me suis dit qu’elle était la personne qu’il me fallait. Je lui ai donc simplement demandé si elle voulait bien me dessiner un Pégase 🙂 Et je suis tellement heureuse de voir le résultat : c’est plus beau encore que ce que j’espérais ! Merci, Malice !
Malice : Je rougis là, non? De mon côté, je ne connaissais le travail de Merry que de loin, mais quand elle m’a proposé le projet, ça m’a tout de suite beaucoup plu. C’était littéralement le sujet parfait pour moi ! (Pour vous donner une idée, l’espace et la mythologie étaient les thèmes de mon projet de fin d’étude ^^)
Le texte m’a vraiment inspirée. Je n’ai eu aucun mal à m’imaginer l’univers de Théo et Pégase, et j’espère que le résultat d’ensemble inspirera autant les lecteurs 😉
En tout cas, merci à toi Merry pour m’avoir donné une bonne excuse pour passer mon temps à dessiner des constellations !

Merry, d’où t’est venue cette histoire ?
Merry : Tous mes jeunesses ont effectivement leur histoire avant l’histoire : pour Mia, j’ai raconté l’histoire de ma Mia, ma chatoune, qui a réellement été abandonnée par son propriétaire avant de me rejoindre… mais vous connaissez peut-être déjà l’histoire ; pour Aristide, tout est parti d’un délire avec Vay, un soir où l’on se sentait particulièrement féministes et où l’on a inventé par messages interposés le concept autour de notre petit prince ; pour Pégase, tout est parti d’une conversation avec une amie… qui a dégénéré jusque dans les étoiles !

Malice, en plus de ton travail d’illustrations jeunesse sur “On m’a dit”, on te connait aussi pour tes couvertures de la série de romans Passeurs de Lucille H. James. Quel genre de projets préfères-tu et pourquoi ?
Malice : Alors, c’est vraiment difficile de choisir… Chaque type de projet a ses avantages et inconvénients. Par exemple, j’aime le fait que, quand j’illustre un livre pour enfant comme « On m’a dit » ou même « Théo à la recherche de Pégase », j’ai pas mal d’illustrations pour développer ma vision de l’histoire. Mais ça a l’inconvénient de prendre beaucoup de temps à réaliser. Dans le cas d’une couverture, je dois me contenter d’une seule illustration, mais ça me donne l’occasion (comme pour « Passeurs ») de plus travailler sur la symbolique et sur l’ambiance générale du livre, et retranscrire tous ces éléments en une illustration cohérente. Bref, ce sont deux approches assez différentes, mais j’aime vraiment faire les deux 😀

Peut-on s’attendre à une suite des aventures de Théo et Pégase ?
Merry : Tout dépend de Pégase… S’il s’enfuit encore, ça va être compliqué… 😉
Malice : Franchement, ça n’a pas été évoqué, mais je ne prédis pas le futur 🙂

Avez-vous d’autres projets, en commun ou non ?
Merry : Je ne parlerai pas, même sous la torture !
Malice : Je bosse sur d’autres projets en ce moment mais c’est encore top secret.

 

Merci !!!
Merry : Merci à toi 😉
Malice : Oui merci beaucoup à toi !

 

 

Apostrophe – Interview avec ses auteures


Les rencontres extraordinaires d’Apostrophe

Suivons Apostrophe au-delà des forêts, jusqu’à l’océan, en compagnie de ses amis extraordinaires.

Parution le 18 décembre 2017
ISBN : 978-3-95858-166-1
e-ISBN : 978-395858-167-8

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Bonjour les filles !

Qui est Apostrophe ? D’où vient-il ?
Alexandra Klein 
: Apostrophe est une petite souris avide de découvertes et de rencontres. Elle vient du fin fond de la forêt – un mélange entre mes neurones et celles de Marjorie ! Et elle va se balader et ainsi découvrir la richesse de son monde.
Marjorie Anthouard : Apostrophe est une souris grise au pelage velour qui part pour découvrir un monde fantastique plein de créatures merveilleuses…

 

Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur son Voyage extraordinaire ?
A.K.
 : Son voyage extraordinaire c’est le cheminement entre la magie d’animaux extraordinaires qu’on rêverait tous de rencontrer en vrai, qui se fondent dans de vrais décors, avec un soupçon d’appel à la tolérance et un appel aux différents sens qu’ils soient l’odeur, le toucher, la vue… Chacune de ces rencontres apportent une touche de douceur et de rêves et aussi un peu d’humour !
M.A. : Apostrophe fait un voyage aux rencontres magiques et surréalistes que sont les créatures qu’elle va rencontrer dans des paysage magnifique.

 

Apostrophe a connu une première vie en autoédition… Pourquoi avoir choisi de le faire rééditer par une maison d’édition ?
A.K. : Effectivement, Apostrophe est née en auto-édition car je connaissais le procédé pour l’avoir déjà réalisé avec un livre précédent. Mais je voulais qu’elle puisse voyager au-delà de mon cercle de connaissances, émerveiller d’autres enfants et travailler de concert avec des professionnels de l’édition pour apprendre et améliorer ce qui avait été fait. Et puis, Marjorie a un talent fou, et pour avoir accepté de me suivre dans ce projet je voulais lui donner aussi sa chance d’avoir une visibilité sur son travail et pourquoi pas ainsi l’amener à d’autres projets. Cela a été une bonne dose de motivation en plus pour avoir le courage de présenter le livre !
M.A. : Alex m’a juste permis de montrer mon talent à travers ce livre puis a décidé de contacter une maison d’edition pour nous mener encore plus loin avec nos deux talents.

 

Comment est née votre collaboration ?
A.K.
 : Un pur hasard ! J’avais l’idée de faire une histoire pour enfant, d’insérer sur des photos que j’avais pu faire lors de différents séjours à droite et à gauche en France des illustrations mais c’était encore flou dans ma tête. La magie d’internet a fait que j’ai lancé un appel à collaboration en décrivant le projet de la même manière à peu près et l’une de mes meilleures amies à pensé à sa belle-sœur que je ne connaissais pas du tout ! Après un bref échange, elle m’a timidement envoyé une photo prise dans la forêt avec une esquisse de souris. J’ai été emballée par son coup de crayon et dans la foulée tout s’est mis en place dans ma tête pour l’histoire. J’ai fait ma sélection de photos, et tout à trac je lui ai envoyé en lui demandant de lire tranquillement et de voir si cela l’inspirait et si elle souhaitait participer au projet. A chaque fois que je voyais son mail avec une illustration de réalisée, c’était comme un matin de Noël. Voir ce qu’il y avait dans ma tête dessiné, là devant mes yeux, c’était formidable !
M.A. : Alex, une amie de ma belle-sœur, m’a contacté par le biais de celle-ci car elle voulait une illustratrice pour conte, et mon rêve était de dessiner pour un livre d’enfant, du coup ca tombait à pic pour moi. Alors je me suis mis a réaliser des dessins et ca nous a plu, c’était génial ! Je réalise mon rêve et ce rêve n’est pas fini…

 

Avez-vous d’autres projets, ensemble ou individuellement ?
A.K. : J’ai plein de projets qui fourmillent dans ma tête, certains sont déjà à moitié couchés sur le papier, d’autres attendent de mûrir encore un peu. Nous avons évoqué le fait de retravailler ensemble, il faut que j’ose lui demander si ça la tente de travailler sur une couverture (dis oui !) et j’espère qu’on pourra se replonger dans cette ébullition créative qui nous a tenu en haleine quelques mois !
M.A. : Un rêve ne doit pas finir ! Bien sûr que je te suis, je suis toute « oui » pour d’autres aventures…

 

Merci !

 

Promos de Noël – Bougies de l’Avent

Cette année, nous avons décidé de fêter Noël en suivant une petite tradition allemande !

En effet, Nats Edition étant une maison d’édition allemande (bien qu’essentiellement francophone), il nous a paru sympa de partager cette variante du Calendrier de l’Avent avec vous.

Le principe de compte à rebours est le même qu’avec le Calendrier sauf qu’au lieu d’ouvrir une case par jour, nous allumons une Bougie de l’Avent les 4 dimanches précédant Noël.

Nous allumerons donc ensemble une nouvelle Bougie (virtuelle) chaque dimanche à partir du 4 décembre 2017 et à y être, la Bougie vous réservera quelques surprises ! 😉

Cela se passera sur nos comptes Facebook, Twitter et Instagram.

 

 

 

Irïan, T1 : Semblables – Interview avec Saïph Riguel


Irïan, T1 : Semblables

Étudiante en astrophysique, Naya prépare sa thèse à l’observatoire du Cantal.
En cette nuit du 12 août 2012, la doctorante, son directeur de thèse et sa collègue observent les Perséides.
Ce soir, rien ne va.
Quand les météorites finissent par se dévoiler, ce n’est pas un caillou qui tombe dans le jardin de l’observatoire, mais un vaisseau aux allures d’insecte…
Irïan est venu chercher sa pilote.

Parution le 4 décembre 2017
ISBN : 978-3-95858-151-7
e-ISBN : 978-395858-152-4

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Bonjour Saïph!

Présente-nous l’univers d’Irïan…

S.R. : Tout d’abord, parlons d’Irïan lui-même. Irïan est un vaisseau spatial extraterrestre d’exploration, reconverti pour l’armée. Son mode de pilotage, par symbiose avec son pilote, lui donne un caractère sans gêne et décapant. Irïan est le prototype originel, l’œuvre jamais achevée de Naïri Laïtar, cependant ce dernier vient de mourir et Irïan cherche un nouveau pilote qui corresponde à sa symbiose. Un semblable.

À présent nous pouvons aborder le monde dans lequel ce personnage évolue.

L’univers d’Irïan n’est pas un, mais douze. Il s’agit d’univers parallèles imbriqués, chacun ayant vu évoluer une espèce particulière. Ainsi, quand le nôtre est homo sapiens (5eme univers), le peuple d’Irïan (4eme univers) est insectoïde. Ce peuple a élu résidence sur la planète Ispilăn et deux de ses lunes.

Cette différence entraîne une société matriarcale et technologique qui s’illustre dans les dialogues par du féminin de généralité et un rapport homme/femme particulier.

 

Quelle est l’intrigue de ce premier tome ?

S.R. : La quête d’un nouveau pilote est motivée par la mission d’Irïan. S’il a été reconverti en vaisseau militaire, c’est parce qu’une guerre souterraine agite son peuple depuis plusieurs années. Parmi divers mouvements contestataires, Irïan est le blason de la rébellion Laïtar. Pourquoi Irïan cherche-t-il un pilote sur Terre ?  Quelle aide pourra apporter ce pilote ? Pourquoi aller chercher si loin ?

Rendez-vous dans quelques chapitres.

 

Combien de tomes prévois-tu ?

S.R. : Trois tomes sont prévus et ils sont déjà écrits ! Il n’y aura donc pas de latence entre les publications et le sort des divers personnages est déjà scellé. Cela me donne l’avantage de ne pas écrire sous pression et de ne pas dévier malgré les futurs retours des lecteurs. Adieu le risque de faire du « fan-service ».

 

La mise en page, en particulier les dialogues, est un peu particulière, très proche du théâtre. Pourquoi ce choix ?

S.R. : Ah ces dialogues, ils auront fait couler beaucoup d’encre ! Je suis tombée dans le théâtre avant le roman, notamment avec Cyrano de Bergerac. J’ai aimé cette liberté d’imaginer sans contrainte. Néanmoins le déclic s’est fait plus tard avec le roman/théâtre : on ne badine pas avec l’amour de Musset. Par la suite j’ai découvert que ce genre de dialogue était utilisé par Diderot et dans d’autres littératures, entre autres la littérature Arabe.

Enfin, quand j’ai conçu cette histoire en 2004, j’étais lycéenne, dans une démarche d’appropriation de l’écriture et cette façon d’écrire les dialogues m’a libérée d’un joug. Écrire a toujours été une épreuve avec toutes ses règles, ses codes, ses exceptions. J’avais besoin d’y voir clair. J’ai donc « cadré » ça à ma façon un peu scientifique, je l’avoue.

 

Sur ton temps libre, tu participes à pas mal de jeu de rôles grandeur nature… Penses-tu que l’univers d’Irïan pourrit se prêter à un jeu de ce genre ?

S.R. : J’ai écrit Irïan avant de découvrir le jeu de rôle grandeur nature. Lier les deux serait facile d’un point de vue scénaristique. Le monde est assez riche et fourmillant pour des intrigues annexes. Pourtant, d’un point de vue costume et décor, j’ai peur que cela soit compliqué. Certes, mes extraterrestres sont bipèdes, mais ils ont 4 bras, volent, utilisent leurs antennes pour entendre et communiquer. Le jeu serait possible mais l’immersion incomplète.

 

Merci !

 

La Faille spatio-temporelle – Interview avec les auteures


La Faille spatio-temporelle

Par une froide journée d’hiver, la curiosité de Valentine et Mathis est attisée par le livre de leur maîtresse. Mais il est déjà trop tard ! Un chapitre secret, intitulé « La Faille Spatio-temporelle », les projette dans l’espace-temps. Avec eux, parcours différentes périodes de notre Histoire et assiste-les dans leurs expériences qui vous permettront, peut-être, de revenir à notre époque…

Une aventure intense et ludique de Plum’2 Muse, illustrée par Sandra Garcia, avec le Dico-Muse des définitions en annexe.

Parution le 20 novembre 2017
ISBN : 978-3-95858-163-0
e-ISBN : 978-395858-164-7

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Bonjour les filles !

Pouvez-vous nous présenter ce conte ?
P2M : Bonjour. Alors la Faille, c’est l’histoire de deux enfants qui vont, par hasard, être transportés dans le temps. Pour s’en sortir, ils vont devoir réaliser des expériences (très simples). Le livre est adapté aux différents programmes scolaires, et il est bourré de petites anecdotes.

Comment est née votre collaboration ? Vous vous connaissiez déjà avant de travailler ensemble ?
P2M : J’ai pas eu le choix (ah ah ah). Plus sérieusement, je connaissais déjà Sandra, j’aime beaucoup son travail et sa gentillesse. Après, elle m’a été proposée par la Maison d’Edition. Tu penses bien que j’étais ravie de travailler avec elle.
S.G. :Un jour, Nats Editions m’a demandée d’illustrer cette histoire. Je connaissais déjà Christine pour l’avoir croisée à plusieurs reprises sur des salons, j’ai donc accepté.

Quel est le message ou l’objectif de La faille spatio-temporelle ?
P2M
 : Le message, c’est celui qu’a bien voulu me donner l’astrobiologiste Cyprien Verseux, spécialiste de la vie sur Mars : « N’oubliez pas d’oser ». C’est tout à fait cela. Tous les enfants, toutes les personnes sont capables de réaliser de belles choses, et de les réaliser ensemble. L’objectif est que les enfants (re)découvrent le plaisir de la science, de l’histoire, de l’école au travers d’une aventure extraordinaire (il faut le dire, quand même).
S.G. : Dans ce livre les enfants peuvent s’identifier aux personnages, rêver, et s’informer sur des faits historiques.

Plum’2 Muse, as-tu d’autres projet d’écriture ? Tu es aussi connue sous une autre identité… Peux-tu nous en dire un peu plus ou c’est un secret ? 😉
P2M : Non, ce n’est pas un secret. J’ai été retenue pour une nouvelle dans l’Antho officielle du salon Fantasy-en-Beaujolais, à Crèche-sur-Saône, salon où je présenterai La Faille en avant-première, d’ailleurs (les 11 et 12 novembre). J’ai signé l’Antho de mon vrai nom : Christine Aubouin-Decroix. Plum’2 Muse, c’était plus pour la jeunesse, et pour un rappel à mes autres « fonctions », je suis également chroniqueuse et animatrice (La Muse en parle et La Muse des Gones, c’est moi 😉 ).

Sinon, au niveau jeunesse, et en accord avec ma super éditrice et mon adorable illustratrice, j’ai souhaité dès le départ que La Faille soit un livre adapté aux personnes souffrant de dyslexie. Ce qui est le cas. À présent, je travaille sur deux autres versions, qui verront le jour chez Nats Editions, pour tous les enfants (une simplifiée et une audio).

J’ai également plein d’autres projets jeunesse qui trottent dans ma tête. Concernée, j’écris également sur le handicap invisible et ses constats désolants (ce livre se voudra positif quand même) et aussi sur mon ancien parcours professionnel et extra-professionnel (drôle et rempli d’anecdotes assez truculentes).

Bref, on va encore entendre parler de moi.

Sandra, et toi ? As-tu d’autres projets en cours ?
S.G. : Oui, des albums jeunesse sont à paraître l’année prochaine et une collection de contes revisités sous forme de mini romans jeunesse, démarrée cette année, continue avec l’auteure Audrey Calviac.

Merci !
Merci à toi.