Passeurs – Galerie des personnages

Bienvenue dans la Galerie des personnages de
Passeurs, une série de romans Fantasy Young Adult
créée par Lucille H. James.

Les illustrations de cette Galerie sont signées
Malice Zambaux.

Nous vous invitons à retrouver ses oeuvres sur
son Instagram et site Web

Malice a également créé les couvertures de la série Passeurs,
du roman Sur la route d’Anvers de Liliana Di Pietro et
fait les illustrations des contes jeunesses
On m’a dit (textes d’Enel Tismaé) et de
Théo à la recherche de Pégase (à paraître le 5 février 2018, textes de Merry Daurey)

Jeffrey Horlaw

Aja Lind

Reo Hariel

Jui Hariel

Evan Lasgalen

Willow Downes

Eryona Argentis

Helen McDowell

Viti Downes

Mr Sandman

Darren Varsoff

Tan le guépard

Luyne Steele

???

 

Liens Boutique :

Passeurs, T1 Jeffrey Horlaw, 17€

Passeurs, T2 Aja Lind, 17 €

Recueil Halloween, 10 €

Pack T1 + Recueil, 25€

Pack T2 + Recueil, 25 €

Pack T1 + T2 + Recueil, 40 €

Illustrations intérieures des T1 et T2 par Blackmailer

Frais de ports offerts à partir de 25 € d’achats

 

 

 

 

Sex Shop Wonderland T1 – Interview avec Boris Tchechovitch


http://blog.nats-editions.com/2017/03/sex-shop-wonderland-interview-de-son.html
Sex shop wonderlandLes aventures d’un dessinateur pour enfants qui se retrouve vendeur dans un sex shop avec cabines de projection porno !

Une histoire vraie en 2 tomes.

Sortie le 20 mars 2017.
ISBN n° 978-3-95858-132-6

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Qui dit nouvelle sortie chez Nats Editions dit nouvelle interview ! Cette fois, on part à la rencontre d’un auteur/illustrateur de BD. Et pas n’importe laquelle !
Bonjour, Boris, peux-tu te présenter à nos lecteurs et nous parler de ta BD ? 
Bonjour. M’étant réfugié dans la lecture et dans l’imaginaire pendant une période difficile de mon enfance, mon aspiration est de participer à la création de livres et de publier mes dessins. Et, dans l’idéal, de livrer une vision d’ensemble, une histoire complète, d’ajouter un titre inédit au monde éditorial. Comme, par exemple, avec Sex shop wonderland.
Je suis passionné par le cinéma de genre, la bande dessinée et le livre en général, en particulier les livres documentaires en lien avec les sujets que je souhaite traiter. Les jeux vidéo des années 80/90 ont également grandement contribué à développer mes envies créatives, même si j’ai arrêté de jouer depuis quelques années pour me concentrer sur la BD.
Pour m’oxygéner, je pratique la guitare et le Tai chi.
Sex shop wonderland est ma première BD. Il s’agit d’une immersion sans concession et, je pense, sans précédent dans l’univers d’un sex shop – où j’ai bossé pendant une (très longue !) année.
Dessins pour Larousse
Comment passe-t-on de dessinateur pour enfant… à une BD sur un sex-shop ? C’est un virage à 180°, là ! 
Eh bien, on passe par la case… vendeur dans un sex shop !
Contrairement aux apparences, il ne s’agit pas d’une chute, mais d’une remontée…. mais ceci est une autre histoire.
En fait, je suis devenu dessinateur pour enfants presque par accident. J’ai toujours voulu faire de la BD. Adolescent, j’étais fasciné par les bandes de Moebius, ainsi que par Akira de Katsuhiro Otomo.
Ces influences écrasantes m’ont longtemps inhibé, il a fallu beaucoup de temps et de travail pour trouver ma propre voie.
En 4e année d’école de dessin, j’étais mal engagé en vue du diplôme, avec un projet de BD trop ambitieux et pas bien maîtrisé. Dans le cadre d’un exercice imposé, j’ai produit un dessin pour enfants frais et cohérent. Pour mes profs, il est apparu comme une évidence que j’allais obtenir mon diplôme puis trouver du travail par la suite avec ce genre de production. Mais je savais que j’allais revenir à la BD tôt ou tard.
Néanmoins, je suis resté proche de mon style jeunesse pour narrer mon aventure dans le sex shop et ses cabines de projection. Ce parti-pris crée un choc des mondes, une opposition d’où découle un espace dans lequel peut se déployer la richesse du thème. Une légèreté bienvenue aussi, compte tenu de la dureté du contexte dépeint.
Extrait de Sex shop wonderland
Toutes les scénettes illustrées dans la BD sont-elles absolument authentiques ? 
Mon attirance initiale est vers le portrait, non la caricature. Tout est vécu, observé, entendu, dans mes anecdotes, même s’il y a parfois amplification, un des rôles de l’auteur étant de dépasser la réalité pour la révéler.
L’idée de faire une BD de cette aventure est venue rapidement après mes premiers jours dans le sex shop, soufflée simultanément par mon épouse et une amie, à qui je racontais les aléas et l’aspect délirant de ce job. Ça a donné un sens à ma présence : je notais au fur et à mesure les situations et les dialogues. Il m’est arrivé de dessiner des acheteurs pendant qu’ils me tournaient le dos, de commencer une page le jour même d’une prise de bec avec un client, comme un exutoire.
Es-tu toujours vendeur dans ce sex-shop aujourd’hui ? Ton patron (ou ex-patron) sait-il que tu sors une BD sur son entreprise ? 
Le sex shop n’existe plus. Il est devenu un magasin de luminaires. Qu’est devenu le sinistre dédale de cabines ? Mystère.
Dans le monde des Bisounours, je pourrais offrir ma BD à mon ex-patron, il rigolerait un bon coup et, vu sa spécialité, pourrait même être fasciné. Mais, en réalité, compte tenu de son caractère et de ses antécédents avec ses vendeurs, je pense qu’il se sentirait trahi.
Quoi qu’il en soit, il s’agit de ma tranche de vie et de ma vision des péripéties.
Recherches de personnages secondaires pour projet BD médiéval
As-tu d’autres projets ? 
Dans l’immédiat : finir la couverture pour le tome 2 de Sex shop wonderland, qui sortira début novembre.
Ensuite, nouveau projet de BD avec un dessin plus réaliste, du moyenâgeux qui bascule dans le surnaturel. Un chantier dans les bois, un mal indicible qui se propage, un messager anodin qui sera transfiguré voire métamorphosé par les événements tragiques… à suivre…
Et pour tout savoir sur Boris, on vous invite à lire sa fiche auteur ici.

Sex Shop Wonderland, T2 – Interview avec Boris Tchechovitch


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Sex Shop Wonderland Tome 2

La suite et fin des aventures d’un dessinateur pour enfants qui se retrouve vendeur dans un sex shop avec cabines de projections porno !

Une histoire vraie en 2 tomes.

 

Parution le 6 novembre 2017
ISBN : 978-3-95858-134-0
e-ISBN : 978-395858-135-7

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Bonjour Boris !

On retrouve enfin la suite de tes « aventures » de vendeur de Sex Shop ! Est-ce que celles-ci sont toujours inspirées de faits réels ?

Dans le tome 1, tout est vrai… sauf ce qui est faux. Vrai à 99%. Dans le tome 2, tout est faux… sauf ce qui est vrai ! Mais je ne dévoilerai pas le pourcentage ! Dans « Sex Shop Wonderland », la réalité dépasse la fiction, c’est entendu… Dans cette suite, la fiction dépasse la réalité. Pourtant, la réponse donnée lors de notre interview au sujet du tome 1 sur l’ancrage dans le vécu et la véracité des événements est toujours valable.

Ces contradictions sont les forces vives de « Sex shop wonderland » et nourrissent sa complexité.

 

Extrait de la page « Coitus interruptus »

 

On pourrait penser que tu as fait le tour de la question dans le tome 1… Que reste-il à raconter dans le tome 2 ?

L’autre moitié des anecdotes, soit 46 pages de plus ! Après l’expérience difficile racontée dans le tome 1, Le vendeur est passé chef d’équipe et se laisse moins dominer par les situations et les clients. On est dans la continuité et le renouveau. On peut avoir la sensation d’avoir fait le tour de la question après la lecture du premier tome, car il se termine sur un climax spectaculaire de 8 pages. Si le tome 1 était contaminé par de multiples références au cinéma fantastique et d’horreur, plus le chamanisme pour le final, le tome 2 renouvelle la donne avec de nouveaux thèmes secondaires… mais je laisse les lecteurs découvrir lesquels. Plus un final sur lequel je me suis démené comme jamais.

 

Y aura-t-il d’autres tomes ?

Non, j’ai épuisé le filon. Un 3e tome ne ferait qu’une page car il ne manque qu’une seule anecdote que je n’ai pas racontée. La voici : « Un ancien vendeur de ce même sex shop fait irruption dans le magasin, accompagné d’un ami. Insistant, il me fait comprendre qu’un des rôles des vendeurs est de satisfaire les désirs sexuels des clients dans les cabines et que j’ai intérêt à faire pareil, surtout que lui et son ami sont venus spécialement pour en profiter ».

 


Extrait de la page « Le boulet »

 

Honnêtement : est-ce que ce job te manque ?

Question pertinente et même un peu urticante^^

C’est ambigu. Il m’arrive encore de rêver de temps en temps que je retourne travailler au sex shop. Je ressens alors clairement un mélange de soulagement et de consternation. Soulagement, car Il y a un aspect intra-utérin dans l’entreprise, tu es au chaud, tu es nourri (le salaire). Dans un magasin, le décor et le matériel sont là, les clients aussi. Il n’y a qu’à jouer son rôle de vendeur, composer avec les éléments déjà en place. Il faut dire aussi qu’il me semble parfois plus difficile d’élaborer une BD que de travailler dans un sex shop. Pour créer une bande dessinée, il y a ce vide paralysant de la page blanche. Tout doit venir des tripes et du travail du dessinateur, il faut maîtriser la perspective pour mettre en place les décors, le dessin d’objets, le dessin de personnage et du visage, les vêtements, les attitudes et expressions… Je m’éloigne un peu de la question initiale mais il me paraît bon de préciser que les choses ne sont pas aussi simples que : « le boulot alimentaire c’est de la merde et faire de la BD c’est un truc génial ».

 


Extrait de la page « Dreamscape »

 

Dans l’interview pour le T1, tu nous parlais d’un projet BD  totalement différent… Où est-ce que ça en est ?

Ca avance doucement… le moment est venu de sortir de la torpeur de l’été.

Je travaille à la fois le design des personnages et le storyboard avec mise en place des dialogues. Plus quelques illustrations finalisées, pour tester l’encrage et la mise en couleur, pour affiner le style et la technique définitive en vue des 4 pages finalisées qui constitueront le gros du dossier éditorial.

On découvrira pendant ces 4 premières pages que le rôle de messager, venu annoncer une mauvaise nouvelle sur un chantier de bûcherons menacé par un mal indicible, n’est pas de tout repos.

Merci !

 

 

 

Interview avec Florian Poirier

Bonjour Florian,

Tu es auteur de Livres jeunesse et depuis peu, de BD. Peux-tu nous faire un petit rappel de tes œuvres et nous en parler ?

F.P. : Bonjour Nat, mes œuvres dont beaucoup ont été éditées par tes soins et je t’en remercie sont…

Chipo, illustré par Jean Caraglio (2017) : dernier livre sorti qui parle d’un petit hamster qui souhaite apporter du bonheur autour de lui.

Câline, la chenille, illustré par Mahé (2015) : Livre sur la différence et l’acceptation de soi tel que l’on est. Il s’agit de ma deuxième collaboration avec Mahé, après des Bisous tout partout.

Drôles d’animaux, illustré par Rémy Rebaudo (2015) : Petit conte randonnée qui montre que nous avons toujours besoin les uns des autres.

Non, je ne suis pas celui que l’on croit … quoique ! illustré par Rémy Soitout (2015) : Livre avec du second degré où nous avons imaginé avec Rémy ce que pensait « réellement » les animaux.

Samuel, illustré par Vay (2015) : Un livre sur la différence et la communication. Antonin et Samuel sont les nouveaux dans une classe, l’un est sourd, l’autre non. Ce livre me permet de parler du handicap et de proposer une mini initiation à la LSF lors d’animations.

J’veux un animal, illustré par Solène Poirier (2015) : un livre à part car il a été illustré par ma fille Solène qui avait 10 ans au moment de sa parution. Il raconte l’histoire d’une fille qui veut absolument un animal de compagnie et en particulier une chauve-souris. En résulte une discussion avec les parents pour trouver l’animal adéquat.

Des Bisous tout partout, illustré par Mahé (2014) : il s’agit d’un livre à lire avec son enfant et d’en profiter pour faire des câlins et des bisous (très apprécié des parents).

J’aime pas ça, illustré par Anaïs Natiembé (2013) : Sarah est une petit fille (en fait un chat de par les très belles illustrations d’Anaïs) qui dit tout le temps « j’aime pas ça ». Généralement ce livre parle très bien aux parents J.

Une vie ordinaire, illustré par Sylvie Morand (2013) : c’est l’histoire d’un papa amoureux de sa femme qui donne naissance à une fille qui va grandir et donner à son tour naissance à un enfant. La vie, quoi.

Lueur d’espoir, illustré par Simon Leroux (2013) : tout premier livre publié qui parle d’un enfant et de sa maman à la fin d’une guerre (ce n’est pas une guerre en particulier mais malheureusement une idée globale de la guerre).

Et chez VERTE PLUME EDITIONS, La promenade de Lucky, illustré par Valérie Zloty (2015) : Livre pour les tout-petits interactif qui narre les aventures de Lucky.

En BD, chez GRRR…ART EDITIONS : Disto & Co, illustré par Anthony Faucheux (2016) : Une BD humoristique (une planche = 1 gag) qui évoque la vie d’un groupe de musique rêvant de gloire.

 

Raconte-nous ta façon de travailler…

F.P. : Je cherche d’abord le sujet puis je commence à imaginer à quel public je souhaite m’adresser. J’écris alors une première version que je retravaille plusieurs fois jusqu’à avoir un découpage qui me plaise. Ensuite je le fais lire à d’autres personnes et seulement à ce moment-là je le donne à l’illustrateur et nous en reparlons tous les deux.

 

Tu as travaillé avec beaucoup d’illustrateurs différents alors que certains auteurs ne travaillent avec qu’un seul illustrateur ou presque pour tous leurs contes… Pourquoi changer autant ?

F.P. : J’ai effectivement travaillé avec des illustrateurs différents sauf sur 2 projets avec Mahé (des bisous et câline). Je tiens d’abord à dire que cela s’est toujours très bien passé et qu’avec chacun ce fut un vrai plaisir. Après j’ai travaillé avec des illustrateurs qui souhaitaient ne faire qu’un projet car ce n’est pas leur métier, pour les professionnels ça dépend aussi de leurs emplois du temps, des contrats en cours, etc. Je travaille sur des projets avec Vay (Samuel), Mahé et Anthony Faucheux.

 

Tu fais aussi beaucoup d’animations en médiathèques ou bibliothèques. Peux-tu nous raconter cela ?

F.P. : C’est vrai que c’est une partie plaisante du travail d’auteur, pour moi en tous cas, car on voit les réactions du public en direct. Je fais des rencontres-lectures-dédicaces, des ateliers BD, des mini initiations LSF, des lectures musicales, cela dépend du ou des livres mis en avant et de la demande des bibliothèques.

 

Est-ce que les enfants se montrent réceptifs aux ateliers de LSF ?

F.P. : Ils sont très réceptifs et adorent faire des signes. Une partie des animations en LSF consiste à leur faire faire un signe et les autres enfants présents doivent le deviner. Ce qui est très sympa c’est que les parents présents jouent aussi le jeu. Quand je revoie certains de ces enfants il n’est pas rare qu’ils me fassent le signe « bonjour ».

 

Quels sont tes prochains événements ?

F.P. :

Samedi 21 octobre de 17h à 22h et dimanche 22 octobre de 10h à 18h : Salon du livre de Saint Jean de Saverne

Mercredi 25 octobre : Animation atelier BD à la médiathèque de Holtzheim de 15h à 17h

Jeudi 26 octobre : Animation atelier BD à la médiathèque de Herrlisheim de 10h à 12h

Samedi 28 octobre : Animation atelier BD à la médiathèque de Lampertheim de 10h à 12h

Mercredi 15 novembre : Animation atelier BD à la médiathèque de La Wantzenau de 10h à 12h

Samedi 18 novembre : Animation mini initiation LSF et lecture de Samuel à la médiathèque de Wolfisheim de 10h30 à 12h

Samedi 25 novembre et dimanche 26 novembre : Salon du livre de Colmar

Mercredi 29 novembre : Séance de dédicaces à la médiathèque de Herrlisheim de 15h à 18h

Dimanche 18 mars de 14h à 18h : Salon du livre de La Wantzenau (salle Le Fil d’Eau)

D’autres sont en attente de confirmation

 

As-tu des projets en cours ?

F.P. : Pour les projets en cours, il y en a toujours. Je travaille sur 4 projets BD, un projet d’album jeunesse et un projet de mini roman. Mais tant que ce n’est pas signé, il n’y a pas de certitudes.

 

Merci Florian ! 🙂

 

 

Passeurs, T2 : Aja Lind – Interview avec Lucille H. James


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Passeurs, T2 : Aja Lind

Jeffrey Horlaw est parvenu à s’enfuir de justesse du monde d’Ithilnín. Il a manqué d’y laisser sa vie, et sa santé mentale.
Aja Lind, 16 ans, n’éprouve qu’un intérêt limité pour les choses de ce monde. Elle occupe ses journées entre sa passion pour les chats et les films de genre obscurs.
Lorsqu’un groupe de miliciens armés fait irruption dans leur lycée, Jeff et Aja s’enfuient, jusqu’à atteindre un univers parallèle.
Embarquée dans un biplan poussif, propulsée dans une ville cosmopolite et magique, Aja fait la connaissance d’un peuple adorateur des démons, d’un Prince-Oracle, et d’un guépard qui parle. Quant à Jeff, il devient le meneur rétif d’un groupe de Passeurs envoyés à Torana Kala pour y retrouver l’Oracle de la Mort.
Ils auraient mieux fait de rester chez eux.

 

Parution le 23 octobre 2017
ISBN : 978-3-95858-149-4
e-ISBN : 978-395858-150-0
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Bonjour Lucille !
Bongeourre.

Peux-tu nous rappeler l’intrigue du T1 de Passeurs, Jeffrey Horlaw ?
L.H.J. 
: Jeff est élève dans un institut pour gosses de riches à problèmes. Lorsque le petit Nathan disparaît dans la forêt qui entoure l’école, il part à sa recherche avec son ami Ted. Ils se retrouvent happés dans un monde parallèle, puis traqués par une organisation militaire. Ted est fusillé. Jeff, lui, est sauvé de justesse par les Passeurs, des gardiens de la frontière entre les mondes.
Rescapé dans la ville d’Ithilnín, il découvre ce nouvel univers avec Lyune, capitaine des Passeurs, Reo, guérisseur en chef, et Tan, un guépard à l’humour sarcastique.
Intrigues politiques, exploration de ruines, infiltration dans une base milicienne… De nombreuses péripéties plus tard, Jeff retourne dans son monde. Mais pour lui, les choses ont irrémédiablement changé.

Et nous présenter celle du T2, Aja Lind ?
L.H.J.
 : Jeffrey Horlaw est parvenu à s’enfuir de justesse du monde d’Ithilnín. Il a manqué d’y laisser sa vie, et sa santé mentale.
Aja Lind, 16 ans, n’éprouve qu’un intérêt limité pour les choses de ce monde. Elle occupe ses journées entre sa passion pour les chats et les films de genre obscurs.
Lorsqu’un groupe de miliciens armés fait irruption dans leur lycée, Jeff et Aja s’enfuient, jusqu’à atteindre un univers parallèle.
Embarquée dans un biplan poussif, propulsée dans une ville cosmopolite et magique, Aja fait la connaissance d’un peuple adorateur des démons, d’un Prince-Oracle, et d’un guépard qui parle. Quant à Jeff, il devient le meneur rétif d’un groupe de Passeurs envoyés à Torana Kala pour y retrouver l’Oracle de la Mort.
C’est la 4e de couverture, ça ! Copieuse!^^

Beaucoup de lecteurs t’ont reproché ton sadisme après la lecture du T1. Est-ce que tu t’es calmée ? ^^
L.H.J.
 : Je trouve, oui, mais les messages d’insultes que j’ai reçus de mes bêta-lecteurs me laissent croire que non.

Bien que le reste de l’histoire n’ait rien à voir, le passage entre les mondes fait un peu penser à la saga À la Croisée des Mondes de P. Pullman… Hasard ou inspiration ?
L.H.J.
 : Inspiration assumée. À La Croisée des Mondes, c’est le livre de mon enfance. C’est un excellent roman fantasy et je conseille à tous  ceux qui n’ont pas réussi à passer les premiers chapitres quand ils étaient ados de lui donner une seconde chance. Je suis d’ailleurs excitée comme une gosse parce que La Belle Sauvage, une préquelle de la trilogie, sort en octobre !

Combien d’autres tomes prévois-tu ? Où en es-tu dans leur écriture ? Tu peux nous dévoiler un peu de leur contenu ?
L.H.J.
 : Il y a deux autres tomes prévus. J’ai bouclé la première partie du tome 3, mais les synopsis sont déjà écrits : je sais où je vais. Pour le contenu, impossible d’en parler sans spoiler. Je dirais simplement que Jeff va être confronté à des alliances et des trahisons inattendues… Je ne garantis rien sur le sadisme, par contre.

Merci !

Ballad With A Solitary Blade Vol. 3 – Interview avec les auteurs


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Ballad With A Solitary Blade Vol. 3

La poursuite finale est lancée !
Découvrez la conclusion du conte de sabres exotique „Ballad With A Solitary Blade“ signé Abacabu Rônin et dessiné par Linja.

Parution le 9 octobre 2017
ISBN : 978-3-95858-153-1
e-ISBN : 978-395858-154-8
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Bonjour !
Bonjour 🙂
Bonjour ^^

 

Le 3e volume de la série seinen Ballad With A Solitary Blade paraît enfin ! J Pouvez-vous nous rappeler l´intrigue principale des 2 premiers volumes ?
A.R. : On suit le voyage exotique et mouvementé d’une jeune guerrière et d’un mercenaire errant, chacun d’eux cherchant à accomplir sa propre vengeance. Naturellement, la première des deux cibles est loin d’être un simple anonyme et les choses vont donc méchamment dégénérer…

 

Quelle est l´intrigue de ce nouveau tome ? Est-ce le dernier ?
A.R. : Il s’agit des conséquences directes des événements du précédent tome, à savoir la traque de nos deux protagonistes. Ce final contient énormément d’action (poursuites, duels), beaucoup plus que dans les précédents. Vous savez, le scénario ayant été écrit avant même que je rencontre Linja, il n’était pas prévu à l’origine que l’histoire soit segmentée en différents tomes. Mais cela aurait représenté une charge de travail et surtout un coût bien trop important pour nous de la sortir en une seule intégrale. Même là sur 3 tomes, avec un troisième volume faisant plus du double des précédents (plus de 330 pages), certaines péripéties initiales ont dû être épurées, voire supprimées.

Pour cette histoire-là, effectivement c’est le dernier tome. Mais je n’exclus pas l’éventualité de revenir un jour à cet univers, ou de refaire apparaître certains personnages dans d’autres histoires.

Un Ballad With Several Blades demeure en tout cas envisageable, j’ai déjà une potentielle intrigue en tête mais pour l’instant, ce n’est clairement pas à l’ordre du jour.

 

Quelle est votre organisation créative (processus, répartition des tâches, travail traditionnel) ?
A.R. : Comme je vous l’ai dit, du fait que le scénario ait été écrit bien avant, je n’ai pas à me demander comment va évoluer l’histoire, tout au plus les réajustements nécessaires évoqués plus haut… Ce qui me permet ainsi de me concentrer de manière quasi-exclusive sur la conception des dessins. Cela concerne donc les concepts des personnages, des décors, des costumes, mais surtout ce qui demeure primordial à mes yeux, les storyboards. J’attache énormément d’importance aux cadrages et angles de prise de vue choisis pour l’élaboration de chaque vignette, encore plus lors des phases d’enchaînement de chorégraphies et scènes d’actions. La mise en scène a pour moi une importance capitale dans l’atmosphère qui doit se dégager de l’œuvre. Je me documente également énormément sur la faune, la flore et les civilisations, de façon à ce que l’univers créé soit le plus harmonieux possible. J’envoie ensuite doc, concepts et storyboards à Linja, qui les reproduit alors avec son propre design. Ensuite, elle me les renvoie, on effectue généralement quelques corrections et ajustements, puis elle encre et trame entièrement à la main.

Exceptionnellement pour ce troisième volume, lorsque nous ne pouvions utiliser certaines trames pour diverses raisons, les trames ont été rajoutées numériquement par mes soins (comme par exemple la séquence avec les lucioles), à part cela tout le reste est réalisé de manière traditionnelle. Enfin, j’effectue en dernier lieu le lettrage et les pages sont envoyées à l’éditrice.

L : Pour ma part, dès que Romain m’envoie le paquet de story-boards et les instructions à suivre, le travail commence. Je reproduis ce que Romain veut illustrer au crayon dans chaque vignette et dès qu’il est d’accord, j’encre la totalité des chapitres à la main puis j’applique les trames, à la main également. Romain s’occupe de tout le reste, comme il vient de l’expliquer

 

Abacabu, quelles sont tes sources d´inspiration pour cette série ?
A.R. : Elles sont multiples. J’ai été élevé entre culture des arts-martiaux et culture polynésienne, il est indéniable que ces deux courants ont une influence capitale dans mes écrits. À cela s’ajoute ma passion incommensurable pour le cinéma, et en particulier celle pour le cinéma asiatique. Je souhaitais que sa mythologie martiale se situe à mi-chemin entre le chanbara et le wu xia pian. C’est pour cela que nous nous trouvons dans le cadre d’un conte de sabres un peu particulier, situé dans un univers océaniquo-asiatique non déterminé, avec des styles de combats de tout horizons. Néanmoins, en ce qui concerne l’ambiance générale de l’histoire, je pense qu’elle s’apparente davantage à celle d’un polar. Les connaisseurs du cinéma de Hong Kong, pourront y voir des échos à certains sous-genres, tel que l’heroic bloodshed, le girls with guns (eux-mêmes héritiers modernes des wu xia), ou bien encore les romances criminelles. Quoi qu’il en soit, mon idée première était avant tout de conter une histoire d’amour impossible, dans un univers où se mêlent mythes et légendes de sabres. Le titre apparaît certes à contre-courant des standards du Manga actuel, on pourrait même parler de Manga Indé, mais nous espérons justement que c’est pour cette singularité que les lecteurs l’apprécieront.

 

Pourquoi avoir choisi le sens de lecture japonais (de droite à gauche) ?
A.R. : La question ne s’est même pas posée en réalité. On fait du Manga, l’histoire se déroule dans un univers asiatique, pour nous ça allait de soi. J’ai commencé à concevoir les storyboards en sens de lecture japonais et le reste a suivi, tout simplement.

 

Avez-vous d´autres projets, ensemble ou non ?
A.R : Plusieurs oui, en ce qui me concerne. Dont un qui me tient particulièrement à cœur dans le registre de la comédie d’arts-martiaux. Là encore le scénario est déjà écrit, les concepts des personnages sont également prêts. L’univers dans lequel ils évolueront devrait assurément vous surprendre… Après, est-ce que le projet se concrétisera avec Linja ? Ça, l’avenir nous le dira…la réponse se trouve surtout entre les mains des éditeurs.

L : En ce qui me concerne, oui, j’ai des projets, mais je suis tenue au secret…

 

Merci !
Merci à vous.
Merci.

Aristide – Interview avec Vay


http://blog.nats-editions.com/2017/09/aristide-interview-avec-vay.html

Aristide

Aristide est un jeune prince très timide dont le royaume est
dirigé par un terrible régent, qui compte bien garder le pouvoir pour lui-même.
Mais, alors qu’un mal mystérieux menace ses sujets, Aristide
se lance dans des recherches, aidé par sa jeune amie et maraîchère Marguerite.
 Ensemble, à l’aide de plantes et de sciences,
parviendront-ils à trouver un remède et à se défaire du Régent ?

Parution le 25 septembre 2017
ISBN : 978-3-95858-140-1
e-ISBN : 978-395858-141-8
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Bonjour Vay !
Après Mia, tu retrouves Merry Daurey avec Aristide… Peux-tu nous présenter ce nouveau conte ?
V. : C’est l’histoire d’un jeune prince dont les parents ont malheureusement péri lors d’une épidémie de variole. En attendant qu’il soit en âge de régner, c’est son oncle qui est nommé Régent du royaume. Mais Aristide n’est pas un petit garçon comme les autres, il est souvent dans la lune, très maladroit et a de la peine à parler en public. Heureusement, dans son malheur, il fait la connaissance de Marguerite, une jeune demoiselle pleine d’assurance et tout aussi futée que lui.


Comment est né ce projet ?
V. : Avec Merry, lors d’une discussion sur les livres de « conte » que l’on trouvait durant notre enfance, on s’est fait la réflexion que c’était un peu navrant cette manie de mettre les jeunes filles dans un état de « faiblesse » permanent, à attendre le prince qui les délivrera, etc. Du coup, on a eu envie de partir sur un conte à contre-courant. Le but n’était pas « d’enlever » quelque chose au Prince et d’en faire une « princesse », mais bien de les mettre sur un pied d’égalité, avec leurs défauts et leurs qualités. Ainsi, nous avons une jeune demoiselle, très sûre d’elle, aimant les travaux plutôt manuels, aimant le contact à la nature et très intelligente. Et de l’autre côté, un prince plutôt inventeur, chercheur, mais très maladroit et qui préfère les livres et le confort de son laboratoire.Tu changes de technique… Alors que les illustrations de Mia ont été créées à l’ordinateur, celles d’Aristide sont traditionnelles. Pourquoi changer ? As-tu une technique favorite ?
V. : Effectivement, les illustrations d’Aristide son aux feutres à alcool avec des rehauts de crayons de couleur. Il n’y a que la couverture qui est une technique mix entre du digital et du feutre à alcool, mais c’était surtout pour une question pratique. Sinon, non, je n’ai pas de technique favorite. En fait, j’apprécie le changement, ça met un peu de « piquant » et surtout, comme j’aime apprendre, je profite des illustrations jeunesse pour « me faire la main ».As-tu d’autres projets en cours ?
V. : Ha, mais j’ai toujours de nouveaux projets ! Le problème, c’est plutôt de trouver le temps pour les faire ! J’ai une BD qui végète depuis plus d’une année, un autre contrat pour un livre jeunesse pour décembre, une autoédition aussi pour décembre, et si tout va bien déjà deux autres contrats devraient venir pour 2018. Et en plus de tout ça, j’ai aussi une exposition en vue, des portraits féminins essentiellement en plusieurs techniques. Autant dire que je suis aux anges, ravie et bien occupée

Tu ne fais pas que du jeunesse… Tu nous en dis plus sur tes autres travaux ?
V. : Effectivement, je ne fais pas que du jeunesse. Comme pour les techniques de dessin, j’aime aussi varier les univers. Je passe donc, allègrement, d’une couverture de livre — aux univers aussi variés que les romans futuristes, post-apocalyptiques et fantastiques — aux portraits plus féminins ou sur commande, et tout ça en faisant un petit détour par des études de nu que j’apprécie toujours autant. C’est dire si j’aime la variété ! D’ailleurs, dès le mois d’octobre, je vais donner des cours de base de dessin dans une Université Populaire.

Merci !

 



Et pour en savoir plus sur Vay, rendez-vous sur sa fiche auteur ici

Plateforme SimPlement pour les Services Presse

Aujourd’hui, nous avons décidé de vous faire découvrir une toute nouvelle plateforme : SimPlement.

Lancée fin mars 2017, SimPlement est une plateforme de mis en contact entre éditeurs/auteurs indépendants et chroniqueurs afin de proposer et faire chroniquer des Services Presse.

La plateforme est totalement gratuite pour sa version basique. Il existe également un service Premium pour les utilisateurs les plus assidus.

Concrètement, la plateforme ressemble à cela :

Son utilisation est très simple : il suffit de s’inscrire (gratuitement, donc) et d’explorer les offres…

Les éditeurs et auteurs indépendants y proposent leurs SP tandis que les chroniqueurs « postulent » aux SP qui les intéressent, les chroniquent et collectent des points. Au plus un chroniqueur a de points, au plus les éditeurs lui feront confiance.

Les SP peuvent être proposés aux formats numériques et imprimés, selon le choix des éditeurs et auteurs.
Pour l’instant, Nats Editions ne vous propose que des SP numériques mais il est possible que nous proposons des imprimés de temps en temps.

Pour plus de précisions sur la plateforme et son fonctionnement, n’hésitez pas à parcourir ses pages À propos, FAQ et sa Charte qui sont très complètes.

Amis éditeurs et chroniqueurs, nous vous invitons à vous y inscrire car comme on dit : « au plus on est de fous, au plus on s’amuse ! » 😉

Appel à textes Jeunesse

Amis auteurs et illustrateurs, nous recherchons des projets Jeunesses ! 🙂

Afin d’éviter de recevoir des projets dont les sujets ont déjà été traités dans notre Catalogue, nous imposons cette année un thème très vaste :
les Sciences et l’Histoire !

Les projets devront être envoyés entre le 28 novembre et le 5 décembre inclus à projets@nats-editions.com.

Il devront s’adresser à un public jusqu’à 12 ans et comporter un maximum de 35 000 caractères.

SVP privilégiez l’envoi en PDF et si le fichier dépasse 10 Mo, l’envoi via Transfernow ou Wetransfer afin de ne pas saturer la boîte mail ! 😉
Les projets seront étudiés avec ou sans illustrations.

La sélection aura lieu vers le 15 décembre et les résultats seront annoncés par email.

Les projets reçus en dehors de cette période ou sans rapport avec le thème ne seront pas étudiés.
Merci pour votre compréhension.

À très vite ! 😉

at-sciences-et-histoire

Bons cadeaux

Le saviez-vous ?

Si vous avez un proche qui adore les livres mais que vous ne savez pas lequel lui offrir,
Nats Editions vous offre la possibilité de commander
des Bon cadeaux d’une valeur de 5 à 50 € !

Ceux-ci sont valables sur toute la Boutique Livres
où le ou la destinataire du Bon cadeau aura le choix entre près de 100 titres…

Ainsi, non seulement vous êtes sûr(e) de lui faire plaisir avec un beau livre mais en plus,
vous lui permettrez de découvrir de nouveaux auteurs et illustrateurs.

Une valeur sûre pour satisfaire nos « livres addicts » ! 😉

Pour toute information supplémentaire, n’hésitez pas à nous contacter,
nous vous répondrons avec plaisir.